j'aime bien ta réflexion sur la liberté et le lien avec ta mère qui comprend qu'elle est en train de la perdre. Pour moi, la liberté, c'est de ne plus ou pas fonctionner comme un robot mais m'offrir le choix en cultivant une certaine qualité de présence à moi-même et aux autres.
Ne serions-nous en train de redécouvrir que le risque, le danger, le hasard sont des composantes incontournable du monde dans lequel nous vivons ? A minimiser, mais insuppressible !
Hello Jean-Paul, Merci pour ton commentaire mais je ne suis pas sûr d’en avoir compris le sens. Comme l’écrit m’amène à faire des associations de concepts et de circonstances de vie parfois étranges, je me demande en te lisant où il t’a emmené ? J’espère que tu as fêté dignement ;)
Eh bien, tu nous fais part des hasards de ta vie professionnelle - surtout comme indépendant - et familiale avec les ennuis de santé de ta mère. Tout plaquer pour faire le tour du monde est aussi ouvrir la porte au hasard et au risque. Kant est très attaché au concept de dignité humaine, qui implique que chacun se prenne individuellement en main, et donc oublie le confort d'un état de dépendance, même choisi.
Nous vivons dans une société où l'état providence essaye de nous protéger, et une pandémie démontre l'impossibilité de l'entreprise.
Ma réflexion est donc que l'existence est forcément soumise à aléas, et qu'ils sont impossibles à supprimer. Il faut donc les prendre en compte pour régler notre vie.
Je comprends mieux. Merci Jean-Paul. Je ne dirai pas "tout plaquer". Je ne ressens pas cela. Je dirai plutôt changer, ouvrir délibérément une nouvelle voie. Et là oui, je te rejoints, pleine d'inconnus et de risques potentiels. De vie donc ! Merci de tes réactions.
j'aime bien ta réflexion sur la liberté et le lien avec ta mère qui comprend qu'elle est en train de la perdre. Pour moi, la liberté, c'est de ne plus ou pas fonctionner comme un robot mais m'offrir le choix en cultivant une certaine qualité de présence à moi-même et aux autres.
et tu fais cela avec grand talent je trouve
Ce matin je reçois suite à la publication de mon dernier article un message de Jérémie m’invitant à lire cet article récent de Reporterre. Étonnant de résonances. Merci Jérémie. https://reporterre.net/Portraits-de-dissidents-de-l-ordre-consumeriste
Ne serions-nous en train de redécouvrir que le risque, le danger, le hasard sont des composantes incontournable du monde dans lequel nous vivons ? A minimiser, mais insuppressible !
Hello Jean-Paul, Merci pour ton commentaire mais je ne suis pas sûr d’en avoir compris le sens. Comme l’écrit m’amène à faire des associations de concepts et de circonstances de vie parfois étranges, je me demande en te lisant où il t’a emmené ? J’espère que tu as fêté dignement ;)
Eh bien, tu nous fais part des hasards de ta vie professionnelle - surtout comme indépendant - et familiale avec les ennuis de santé de ta mère. Tout plaquer pour faire le tour du monde est aussi ouvrir la porte au hasard et au risque. Kant est très attaché au concept de dignité humaine, qui implique que chacun se prenne individuellement en main, et donc oublie le confort d'un état de dépendance, même choisi.
Nous vivons dans une société où l'état providence essaye de nous protéger, et une pandémie démontre l'impossibilité de l'entreprise.
Ma réflexion est donc que l'existence est forcément soumise à aléas, et qu'ils sont impossibles à supprimer. Il faut donc les prendre en compte pour régler notre vie.
Je comprends mieux. Merci Jean-Paul. Je ne dirai pas "tout plaquer". Je ne ressens pas cela. Je dirai plutôt changer, ouvrir délibérément une nouvelle voie. Et là oui, je te rejoints, pleine d'inconnus et de risques potentiels. De vie donc ! Merci de tes réactions.